Mon Programme pour le Vème.
La politique du Maire de Paris depuis 2001 a été, d’emblée, fondée sur l’affirmation absurde que le 5e aurait été « favorisé ». Cette insinuation est particulièrement insultante pour les éducateurs et travailleurs sociaux aujourd’hui confrontés à un manque évident de moyens.
Cette politique traduit une méconnaissance grave des problèmes des personnes âgées et des jeunes parents qui travaillent. L’intervention de la municipalité socialiste s’est trop souvent réduite à préférer l’apparence à la réalité et la polémique au raisonnement et au sérieux.
Alors qu'une étude de l’hebdomadaire «L’Express» avait désigné le 5e comme «l’arrondissement où l’on vit le mieux à Paris», les socialistes ont successivement supprimé le restaurant du 3e âge rue de Santeuil et abandonné la politique de logement en faveur des classes moyennes... entre autres exemples.
Le pire, et le plus symbolique, reste l’aménagement du boulevard Saint-Marcel qui représente un condensé de tout ce qu’il ne faut pas faire... et que malheureusement la gauche a fait.
Nous étions pourtant favorables à un nouvel aménagement !
Nous avions même proposé en accord avec TOUS les riverains (habitants, commerçants, associations...) une solution raisonnable, consensuelle, privilégiant l’autobus en site protégé.
Notre projet aurait couté 10 fois moins cher que celui qui nous a été imposé de manière particulièrement autoritaire.
Résultat, notre boulevard est défiguré, l’embouteillage et la pollution permanents, et les accidents, parfois très graves, s’y sont multipliés.
Les élus socialistes du 5e ont pourtant approuvé pleinement ce projet dont personne ne voulait. Ils refusent, aujourd'hui, toute proposition de modification.
M. Delanoë et ses adjoints parlent beaucoup de concertation mais ne l’appliquent guère. Ils prônent une gestion soi-disant saine et transparente de l'action publique mais, comme le prouvent ces trois exemples, ils font rarement preuve de pragmatisme et de bon sens.
Face à cette opposition sourde et systématique, il nous faut aujourd’hui une équipe dynamique et ouverte à la société civile, mélangeant les talents et les différents courants de pensées pour reprendre une marche de progrès et d’exigence pour notre quartier.
Autour de Jean Tiberi, de gauche à droite : 1e rang : Chantal Bach, Geneviève Audemard, Christian Saint-Etienne. 2e rang : Florence Laingui, Alexandre Baetche, Flora Kaloustian, Lydia Seridj, Anna Affret. 3e rang : Jean-René Hamon, Dominique Tiberi, Claude Suquet, Marc Bensoussan, Benjamin Isare.
Mon équipe et moi-même vous proposons d'appliquer un projet.
Un projet ambitieux. Réaliste. Pour toutes et tous. Le voici :
Cette politique traduit une méconnaissance grave des problèmes des personnes âgées et des jeunes parents qui travaillent. L’intervention de la municipalité socialiste s’est trop souvent réduite à préférer l’apparence à la réalité et la polémique au raisonnement et au sérieux.
Alors qu'une étude de l’hebdomadaire «L’Express» avait désigné le 5e comme «l’arrondissement où l’on vit le mieux à Paris», les socialistes ont successivement supprimé le restaurant du 3e âge rue de Santeuil et abandonné la politique de logement en faveur des classes moyennes... entre autres exemples.
Le pire, et le plus symbolique, reste l’aménagement du boulevard Saint-Marcel qui représente un condensé de tout ce qu’il ne faut pas faire... et que malheureusement la gauche a fait.
Nous étions pourtant favorables à un nouvel aménagement !
Nous avions même proposé en accord avec TOUS les riverains (habitants, commerçants, associations...) une solution raisonnable, consensuelle, privilégiant l’autobus en site protégé.Notre projet aurait couté 10 fois moins cher que celui qui nous a été imposé de manière particulièrement autoritaire.
Résultat, notre boulevard est défiguré, l’embouteillage et la pollution permanents, et les accidents, parfois très graves, s’y sont multipliés.
Les élus socialistes du 5e ont pourtant approuvé pleinement ce projet dont personne ne voulait. Ils refusent, aujourd'hui, toute proposition de modification.
M. Delanoë et ses adjoints parlent beaucoup de concertation mais ne l’appliquent guère. Ils prônent une gestion soi-disant saine et transparente de l'action publique mais, comme le prouvent ces trois exemples, ils font rarement preuve de pragmatisme et de bon sens.
Face à cette opposition sourde et systématique, il nous faut aujourd’hui une équipe dynamique et ouverte à la société civile, mélangeant les talents et les différents courants de pensées pour reprendre une marche de progrès et d’exigence pour notre quartier.
Autour de Jean Tiberi, de gauche à droite : 1e rang : Chantal Bach, Geneviève Audemard, Christian Saint-Etienne. 2e rang : Florence Laingui, Alexandre Baetche, Flora Kaloustian, Lydia Seridj, Anna Affret. 3e rang : Jean-René Hamon, Dominique Tiberi, Claude Suquet, Marc Bensoussan, Benjamin Isare.Mon équipe et moi-même vous proposons d'appliquer un projet.
Un projet ambitieux. Réaliste. Pour toutes et tous. Le voici :
C’est en le soutenant les 9 et 16 mars que nous obtiendrons plus de personnels dans nos écoles et dans nos crèches, que nous retrouverons plus de propreté et de sécurité dans nos rues, que les familles pourront rester vivre dans notre arrondissement et que nous assurerons un meilleur confort à nos anciens.
Nous avons des propositions et des idées.
Nous avons montré notre capacité à les mettre en œuvre.
Seul le citoyen pourra continuer à les imposer.
Seul vous pourrez les imposer en votant pour notre liste dès le 1er tour, le 9 Mars prochain !Cordialement,
J. Tiberi
Député Maire
Publié à
10:08
<< Accueil